• Victor Hugo est le poète préféré de Pramod..., quoi de plus naturel que son école en porte le nom.

    Oui c'est bien son école, car en plus d'être guide-interprète et de gérer son agence de voyage, il est le directeur de cette école de 150 enfants. Nous y sommes allés deux fois, la première pour découvrir l'école et passer du temps avec les enfants et la seconde pour remettre notre don ( et revoir nos élèves ! )

    Je vous laisse le plaisir de le découvrir en images...

     

     


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  • Nous avons passé 3 jours au village de Balthali chez l'habitant. C'est ainsi que nous avons rencontrés un groupe de jeunes femmes qui oeuvrent pour le bien du village et pour leur indépendance...

    Touchés par leur gentillesse et leurs projets, c'est avec beaucoup d'émotion que nous leur avons fait notre don...

    Grâce à la collecte elles vont pouvoir légaliser leur organisation et créer l'atelier de couture du village.

    Elles auront une indépendance financière grâce à cette entreprise et pourront alimenter le fond de roulement de l'association pour permettre à tous les gens du village d'être aidés.

    Je vous laisse apprécier le résumé de nos journées passées auprès d'elles et des villageois...  


     

     


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  • D'adorables savons à main au lait de chèvre et aux parfumSavons naturels aux Senteurs Népalaisess d'ailleurs...., voici les savons 100% naturels d'Aurélie & Mélanie C.

    Parfaits pour les invités ou en décoration parfumée dans votre salle de bain !

     

    Savon naturel Santal & Citron : 4€

    Savons naturels aux Senteurs NépalaisesSavons naturels aux Senteurs Népalaises©

    Savon naturel Rose musquée & Palmarosa : 4€

    Savons naturels aux Senteurs NépalaisesSavons naturels aux Senteurs Népalaises©

     

    Composition : Savons naturels aux Senteurs Népalaises 

     

    Savon naturel Santal & Citron : Base de savon naturel au lait de chèvre, huile ess entielle  de Bois de Santal, huile essentielle de citron et poudre de curcuma. 

     

    Savon naturel Rose musquée et Palmarosa : Base de savon naturel au lait de chèvre, huile essentielle de noix de muscade, huile essentielle de palmarosa et poudre de rose musquée.

    © Ces produits sont les créations originales d'Aurélie & Mélanie Charpentier, chaque pièce est unique. 

    Photos non contractuelles. 


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  • Des bijoux et portes-clés qui vous régalent les yeux à emporter partout, voici les créations gourmandes de Mélanie.

    Porte-clés cookies & pépites chocolat : 6€

    Bijoux & Porte-clés gourmandsBijoux & Porte-clés gourmands©

    Porte-clés Donuts multicouleurs : 6€

    Bijoux & Porte-clés gourmandsBijoux & Porte-clés gourmands©

    Porte-clés Macarons framboise : 6€

    Bijoux & Porte-clés gourmandsBijoux & Porte-clés gourmands


     

     

    ©

    Boucles d'oreilles Donuts multicouleurs : 8€

    Bijoux & Porte-clés gourmandsBijoux & Porte-clés gourmands©  

    Boucles d'oreilles Macarons framboise : 8€

    Bijoux & Porte-clés gourmandsBijoux & Porte-clés gourmands©


    © Ces produits sont les créations originales Melanie Roth-Elbahri, chaque pièce est unique.

    Photos non contractuelles.

     


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  • Anjali HumagainAnjali Hamagain est une jeune adolescente Népalaise originaire du petit village de Baltali, à l’Est de Katmandou. Issue d’une famille très modeste, elle a de grandes ambitions et rêve de devenir médecin pour aider les plus démunis...   

    Son histoire, son rêve, sa scolarité... » Pramod Khakurel témoigne...     

    C‘était en 2008, j’ai rencontré trois petites filles âgées de huit-neuf ans dans le village de Balthali. J’y suis allé avec un groupe d’amis venant de Québec pour visiter les villages. Les petites filles m’ont demandé mon numéro de téléphone et l’une d’entre elle m’a appelé quelques jours plus tard. Elle s’appelait Anjali et elle étudiait en classe cinq. Lors de mes visites précédentes, j’ai souvent rencontré Anjali et un jour elle m’a invité chez elle afin que je fasse con-naissance avec sa famille. Le père d’Anjali, Krishna, est né dans le village de Balthali au sein d’une famille élargie avec cinq en-fants. Krishna est le troisième fils parmi les quatre nés de la première épouse de son père. Il a eu une demi-soeur cadette. La polygamie était une pratique assez répandu à l’époque. La mère d’Anjali, Radhika, née en 1967 dans un village voisin appelé Sankhu, a grandi dans une famille de nombreux enfants. La mère de Radhika avait donné naissance à trois filles et comme le père voulait des garçons, il a fini par prendre une deuxième épouse. De ces deux mariages, sont nés neuf enfants. Contre l’espérance du mari, la deuxième épouse a donné naissance à cinq filles et finalement c’est la première épouse qui aura satisfait son désir en mettant au monde un fils. Radhika fut mariée à l’âge de dix-neuf ans et un an après elle devint mère d’une fille.

    Sont venues par la suite au monde trois autres filles. La première, Ambika, ving quatre ans, est déjà mariée et mère d’un garçon, la deuxième, Santoshi, vingt ans, a choisi le métier d’enseignante. Sabina, la troisième, fait des études commerciales. Enfin, la cadette, Anjali, 14 ans, a toujours voulu devenir médecin afin de « pouvoir soigner gratuitement les femmes malades de la région. Elle caresse toujours ce rêve d’aider les autres. N’ayant pas assez de terre cultivable afin de nourrir correctement la famille, Krishna fut contraint, dès son jeune âge, d’aller travailler ailleurs. Radhika s’occupait de la maison et cultivait une petite parcelle de terre que son mari avait pour héritage. L’entraide des voisins et des familles reste la devise de la communauté et Radhika a toujours reçu le soutien de sa famille lorsqu’elle n’avait pas assez d’argent ou de nourriture afin de subvenir les besoins de ses propres enfant. En dépit des difficultés, elle a réussi à éduquer ses trois filles jusqu’au baccalauréat.

    La cadette a le rêve le plus fou au sein de la famille, devenir médecin, Mais la famille n’a pas les moyens suffisant pour payer ses études. Anjali, est très mature pour son âge. Elle comprend bien les difficultés des gens et elle ne se plaint jamais de sa situation. Obéissante, ouverte, généreuse, joviale, attachante, elle aime surtout relever les défis.  Durant toutes ces années d’études elle a toujours été la première de sa classe. Ses parents lui ont appris à être humble et ses soeurs à travailler dur. Puisqu’elle a grandi dans la plus grande des simplicité, elle a appris à apprécier chaque nouvelle chose. Elle a adoré quelques livres en anglais qu’un généreux donateur lui avait envoyé. Ses enseignants la disent surdouée, alors que quelques étrangers qui l’ont rencontrée dans son école l’ont remarqué toute de suite et l’ont présentée comme une fille intrépide et intelligente. Je l’ai trouvée affectueuse, désireuse d’apprendre, généreuse vis-à-vis de ceux qui souffrent et capable de s’adapter dans les situations difficiles et surtout prête à relever des défis. Elle n’est qu’une adolescente, mais elle désire aider les femmes de sa région qui ne peuvent pas se faire soigner en raison de leur manque des moyens. Se font de nombreuses rencontres dans la vie, certaines nous touchent et certaines nous inspi-rent.

    La rencontre avec Anjali m’a touché, pas sa grandeur d’idée, et m’a inspiré aussi, pour agir en vue trouver des moyens pour celle qui veut s’occuper des personnes en difficulté. Une adolescente de neuf ans à l’époque avait déjà une idée précise, devenir médecin pour s’occuper des femmes sans moyens. Alors, je me suis mis à imaginer que j’allais prendre l’initiative afin de trouver des ressources nécessaires pour lui permettre de continuer sa scolarité dans de bonnes condi-tions. Devenir un médecin est un projet de plusieurs années. Une seule personne n’est peut-être pas en mesure de l’aider. J’avais la certitude de rencon-trer d’autres mains généreuses qui se tendraient vers elle. Ainsi, la main dans la main, nous allions aider Anjali afin qu’elle puisse réaliser ses rêves.

    Avril 2011, Anjali a fini ses études jusqu’à la classe huit dans son village. Pour la poursuite de ses études elle devait aller dans la ville et pour se préparer dès maintenant aux études de la médecine, Il vallait mieux quelle choisisse une institution de qualité dans la capitale Alors, nous avons décidé ensemble, avec la famille, de la scolariser à Kathmandu en classe huit. Elle refaisait le niveau huit car elle avait d’importante lacune sur certaines matières afin d’être au niveau des écoles privées à Kathmandu. Elle est scolarisée à Valley Public High School à Golfutar, au nord de la ville de kathmandu et vit actuellement au sein d’une famille.     

    Son histoire, Sa scolarié 

    Anjali est actuellement scolarisée dans l’établissement Valley Public Higher Se-condary School à Katmandou, en classe 8. Vous trouverez ci-dessous l’ensemble des frais nécessaires à sa scolarisations à Katmandou :  

    Frais Annuels
    Détails Frais en roupies
    Frais d’amission à l’école 3000
    Frais d’activités extra scolaires 500
    Frais de réparation de l’école 300
    Frais médicaux 200
    Développement de l’école 500
    Frais poru les activités sportives 500
    Equipement de l’école 500
    Bibliothèque et laboratoire 500
    Fond pour les étudiants pauvres 100
    Fourniture scolaires 2200
    Sub total    8300   
    Monthly Fees
    Frais mensuels 1450
    Cours suppllémentaires de soutien 600
    Cours d’informatique 300
    Frais d’internat 4000
    Transport 300
    Frais pour es travaux de recherches 300
    Subtotal    6950   
    Yearly subtotal    83400   
    Other Expenses
    Tunqiue 1 2000
    Tunqiue 2 1800
    Tunique 3 1200
    Livres 2250
    Frais d’exams 1400
    Cravate/ceinture/ Cahier de corres- 300
    Calendrier 200
    Subtotal   9150  

     

     TOTAL SCOLARITE ANNUELLE : 8300+83400+9150, ce qui fait 100850 roupies népalaises.

    Son Rêve » Anjali nous parle de son rêve…

    Bonjour, je m’appelle Anjali et j’ai 14 ans.

    Depuis l’âge de 9 ans, j’ai un rêve : devenir médecin. Je désir ainsi me rendre utile et aider les plus démunis. Dans mon village, à Bhaltali, j’ai trop souvent observé la souffrances des gens qui n’avaient pas d’argent. Il y avait beaucoup trop de gens amputés parce que personnes n’avait voulu les soigner à temps, et bien trop de décès qui auraient pu être évités… Et ceci uniquement parce que les médecins ne voulaient pas leur procurer de soins sans argent en retour.

    Je viens moi-même d’une famille assez modeste et je ne supporterais pas un tel traitement envers mes proches. Pour moi tout, le monde devrait avoir accès aux soins et je ne comprends pas que l’on puisse abandonner ainsi les gens en détresse. C’est pourquoi je souhaite après mes études, revenir dans mon village et m’occuper de ces personnes délaissées. Je souhaiterais si j’y parvient, faire mes études de médecine pour avoir un bon diplôme. Je parle déjà bien anglais et je commence à apprendre le français. J’espère ainsi mettre toutes les chances de mon côté pour pouvoir un jour réaliser ce rêve, en m’installant dans mon village où dans une zone isolée où les médecins sont très rares. Qui sait peut-être qu’un jour j’y ouvrirai un hôpital!

    Texte tiré d'un document de Pramod Khakurel. Anjali Humagain

                                                                                                                                     

      

                                                                                                                                 

                                                                                                                                                                                                                                      Village de Balthali


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